Lun | Mar | Mer | Jeu | Ven | Sam | Dim |
---|---|---|---|---|---|---|
7
Date :
dimanche 7 août 2022
| ||||||
8
Date :
lundi 8 août 2022
|
9
Date :
mardi 9 août 2022
|
10
Date :
mercredi 10 août 2022
|
11
Date :
jeudi 11 août 2022
|
12
Date :
vendredi 12 août 2022
|
13
Date :
samedi 13 août 2022
|
14
Date :
dimanche 14 août 2022
|
15
Date :
lundi 15 août 2022
|
16
Date :
mardi 16 août 2022
|
17
Date :
mercredi 17 août 2022
|
18
Date :
jeudi 18 août 2022
|
19
Date :
vendredi 19 août 2022
|
20
Date :
samedi 20 août 2022
|
21
Date :
dimanche 21 août 2022
|
22
Date :
lundi 22 août 2022
|
23
Date :
mardi 23 août 2022
|
24
Date :
mercredi 24 août 2022
|
25
Date :
jeudi 25 août 2022
| |||
Contact
6, rue Bara Lyon 3ème
Tél : 04.37.91.25.10
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Samedi 30 mars 2024, 21 heures Veillée Pascale au lycée.
L’Automne 54
Un acte et une date de naissance : le 8 octobre 1954
La déclaration d’ouverture de l’école de garçons Charles de Foucauld, portée à l’Inspection Académique du Rhône, est agréée le 8 octobre 1954 (Archives de la Province de France, Belley, année 1954).
Cette création est l’aboutissement d’un double désir : celui du curé de la paroisse Ste Jeanne d’Arc à Montchat, l’abbé Gilbert GARNIER, soucieux de créer une école de garçons dans la tradition séculaire de l’Eglise (1) et celui des frères de la Sainte Famille de Belley à la recherche d’une implantation lyonnaise pour développer son activité d’enseignement et permettre la formation universitaire de ses religieux. La présence des facultés catholiques militait en faveur de cette implantation.
La paroisse Ste Jeanne d’Arc, issue d’un redécoupage local des paroisses existantes, dont celle Notre-Dame de Bon Secours, est alors de création récente (1934). Le prédécesseur de l’abbé GARNIER, l’abbé CHAUVE, avait ouvert dès 1945 une école de filles, l’école Ste Jeanne d’Arc, placée sous la direction des religieuses de Sainte Croix du Mans. A l’époque l’enseignement n’était pas mixte et la société française n’évoluait pas dans l’ambiance égalitaire homme-femme que nous connaissons aujourd’hui.